Animal Nocturne Songtext
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Pris dans une tempête, un tourbillon de pensées, comment faire pour s’en échapper sauf ?
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Pris dans une tempête, un tourbillon de pensées, comment faire pour s’en échapper sauf ?
J’ai pu trouver pour la première fois mon refuge en appuyant sur un La bémol
Faut que je ralentisse, faut que, faut que je ralentisse
Faut que je ralentisse sinon je vais perdre la tête
Faut que ça ralentisse, faut que, faut que ça ralentisse
Faut que ça ralentisse
Parce que l’allure délirante de notre monde bat les rues comme un grand métronome
Et sa pauvre mélodie, je l’entends quand le métro sonne
Mais la patience d’un regard que j’ai croisé quelque part
Au beau milieu d’un boulevard, m'a fait souterrainement part
De l’importance de la lenteur à laquelle doit battre le cœur
Pour que, même durant l’hiver, il parvienne à s’enivrer
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Faut que j’hurle
Hurler comme un loup face à la lune
Loin des hommes
Le temps que j’hurle
Hurler comme un loup face à la lune
Loin des hommes
Loin du bruit du temps qui passe, loin du cœur des machines
Loin des formules magiques, des chefs, des rois, des saints
De c'que les hommes chassent, le loup qu’je suis les fascine
Ils vont vouloir m’apprivoiser pour faire de moi un chien
Loin de toutes leurs lumières artificielles
Qui fondent d'vant la vraie, je me retourne à chaque fois
Je reviens sur le territoire des rêves de mon enfance
Cette fois je compte bien retrouver l’alpha
Je suis loin de l’homme (Je suis loin de l’homme)
Que je veux devenir (Que je veux devenir)
Quand les autres dorment, si j’m’éloigne, c’est pour mieux revenir
Ils me traitent de fou (Ils me traitent de fou)
Ce qu’ils disent est vrai (Ce qu’ils disent est vrai)
Ils règnent le jour, mais la nuit est mienne
Faut que je ralentisse, faut que, faut que je ralentisse
Faut que je ralentisse sinon je vais perdre la tête
Faut que ça ralentisse, faut que, faut que ça ralentisse
Faut que ça ralentisse
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Faut que je ralentisse, faut que, faut que je ralentisse
Faut que je ralentisse sinon je vais perdre la tête
Faut que ça ralentisse, faut que, faut que ça ralentisse
Faut que ça ralentisse
Parce que l’allure délirante de notre monde bat les rues comme un grand métronome
Et sa pauvre mélodie, je l’entends quand le métro sonne
Mais la patience d’un regard que j’ai croisé quelque part
Au beau milieu d’un boulevard, m'a fait souterrainement part
De l’importance de la lenteur à laquelle doit battre le cœur
Pour que, même durant l’hiver, il parvienne à s’enivrer
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Faut que j’hurle
Hurler comme un loup face à la lune
Loin des hommes
Le temps que j’hurle
Hurler comme un loup face à la lune
Loin des hommes
Loin du bruit du temps qui passe, loin du cœur des machines
Loin des formules magiques, des chefs, des rois, des saints
De c'que les hommes chassent, le loup qu’je suis les fascine
Ils vont vouloir m’apprivoiser pour faire de moi un chien
Loin de toutes leurs lumières artificielles
Qui fondent d'vant la vraie, je me retourne à chaque fois
Je reviens sur le territoire des rêves de mon enfance
Cette fois je compte bien retrouver l’alpha
Je suis loin de l’homme (Je suis loin de l’homme)
Que je veux devenir (Que je veux devenir)
Quand les autres dorment, si j’m’éloigne, c’est pour mieux revenir
Ils me traitent de fou (Ils me traitent de fou)
Ce qu’ils disent est vrai (Ce qu’ils disent est vrai)
Ils règnent le jour, mais la nuit est mienne
Faut que je ralentisse, faut que, faut que je ralentisse
Faut que je ralentisse sinon je vais perdre la tête
Faut que ça ralentisse, faut que, faut que ça ralentisse
Faut que ça ralentisse
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure
Ce soir, je regarde au loin comme un loup inquiet
Me demandant ce que demain m’a prévu
J’en ai assez de subir la vitesse du monde
Pitié, laissez-moi voguer à mon allure