Corrugated Tin Facade Songtext
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Regarde ce bazar. Il pensait qu'il pouvait rouler Dieu
Elle est partie à l'automne. Il a un visage de chien frappé
Maintenant il devient tout ce que tu hais
Il est juste à temps pour être en retard
Les amis sont des flocons de neige, ses mensonges sont des confessions
Voyez mon vieux et ses biens ruinés
Il ne peut jouer de la guitare, mais il essaie ardemment
Les stylos des chambres d'hôtel, vieilles cartes de bibliothèque
Des photos, des machins, du sang dans les bottes
Le soleil dans les yeux, une ancre à la place des racines
Elle est partie à l'automne. Il a un visage de chien frappé
Maintenant il devient tout ce que tu hais
Il est juste à temps pour être en retard
Les amis sont des flocons de neige, ses mensonges sont des confessions
Voyez mon vieux et ses biens ruinés
Il ne peut jouer de la guitare, mais il essaie ardemment
Les stylos des chambres d'hôtel, vieilles cartes de bibliothèque
Des photos, des machins, du sang dans les bottes
Le soleil dans les yeux, une ancre à la place des racines
Des horloges sur chaque mur, poisson de l'océan
La solitude, foi, suspicion, agitation
Le trou de son estomac a un goût de mots
Il rêve et il imagine son visage comme le sien à elle
Il sait il ne peut vivre sans ses plus grandes craintes
Et rien de plus beau que les larmes d'une femme...
Boîtes de carton plein de regrets
Il nourrit son remord comme il nourrit son animal domestique
Les voix dans sa tête qui disent en c?ur 'Vis un jour'
Les regards de ses yeux livrent aisément ses secrets
La branche qu'il brise, la ligne qu'il dessine
Il tombe dans l'amour avec la laideur que personne ne voit
Aussi près qu'il puisse venir, aussi loin qu'il se tienne
Il l'aimait avec sa bouche aussi fort qu'il pouvait
La plupart des gens change quand ils passent la porte
Ils rentrent du travail à la maison et se souviennent de la guerre
Il creuse un fossé, passe la journée à entasser les déchets
Jusqu'à ce que ça fasse mal et s'en va, souriant
Seul et le c?ur cassé, juste comme il l'aime Il n'y a que la solitude pour le connaître jusqu'au bout des ongles
Et rien ne semble marcher, erreurs partout
Il regarde sa coiffure, sa longue, lourde chevelure.
La solitude, foi, suspicion, agitation
Le trou de son estomac a un goût de mots
Il rêve et il imagine son visage comme le sien à elle
Il sait il ne peut vivre sans ses plus grandes craintes
Et rien de plus beau que les larmes d'une femme...
Boîtes de carton plein de regrets
Il nourrit son remord comme il nourrit son animal domestique
Les voix dans sa tête qui disent en c?ur 'Vis un jour'
Les regards de ses yeux livrent aisément ses secrets
La branche qu'il brise, la ligne qu'il dessine
Il tombe dans l'amour avec la laideur que personne ne voit
Aussi près qu'il puisse venir, aussi loin qu'il se tienne
Il l'aimait avec sa bouche aussi fort qu'il pouvait
La plupart des gens change quand ils passent la porte
Ils rentrent du travail à la maison et se souviennent de la guerre
Il creuse un fossé, passe la journée à entasser les déchets
Jusqu'à ce que ça fasse mal et s'en va, souriant
Seul et le c?ur cassé, juste comme il l'aime Il n'y a que la solitude pour le connaître jusqu'au bout des ongles
Et rien ne semble marcher, erreurs partout
Il regarde sa coiffure, sa longue, lourde chevelure.
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