Dieppe 42 / D Day 44 Songtext
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Je salue Pierre, je salue Jean
Je salue Robert et Réjean
Télesphore, Ovide et Ti-Jean
Qui dorment sous le sol de France
J' salue les Canadiens français
Je pense à ceux qui les aimaient
À celles qui les attendaient
Et qui priaient dans le silence
Je salue Robert et Réjean
Télesphore, Ovide et Ti-Jean
Qui dorment sous le sol de France
J' salue les Canadiens français
Je pense à ceux qui les aimaient
À celles qui les attendaient
Et qui priaient dans le silence
Sur la photo aux couleurs pâles
Ils ont gardé leur sourire d'ange
Dans un cadre que les enfants rangent
Dans un grenier à Montréal
Peut-être que tu l'aurais aimé
Ce soldat venu de Gaspé
Il t'aurait invitée au bal
S'il avait survécu aux balles
Si l'ennemi l'avait raté
Toi, tu aurais su l'attraper
Avec ton rire, avec ta fièvre
Avec des baisers sur ses lèvres
Et tu aurais quitté Paris
Tu s'rais venue vivre à Rimouski
T'aurais appris la neige, le vent
Et t'aurais eu beaucoup d'enfants
Et chaque soir, à la fenêtre,
Pensant à ceux qui t'ont vue naître
Tu aurais entendu vraiment
Monter le Chant des partisans
Comme nos mères ici entendaient
Les cris de leurs hommes qui tombaient
C'est triste, quand on n'a pas d' pays,
D'aller mourir pour une patrie
Et vous auriez raccommodé
Avec des lettres et des baisers
Et des larmes pour les absents
Vos curs brisés par l'océan
Ils sont endormis sous la terre
Les Tremblay, Dubois, les Lachance
Couchés tout près de mon grand-père
Tous ceux qui sont morts pour la France
Oh, que le sommeil leur soit doux
Et que soit douce l'éternité
Salut aux hommes de chez vous
Qui sont morts pour ma liberté {x2}
Ils ont gardé leur sourire d'ange
Dans un cadre que les enfants rangent
Dans un grenier à Montréal
Peut-être que tu l'aurais aimé
Ce soldat venu de Gaspé
Il t'aurait invitée au bal
S'il avait survécu aux balles
Si l'ennemi l'avait raté
Toi, tu aurais su l'attraper
Avec ton rire, avec ta fièvre
Avec des baisers sur ses lèvres
Et tu aurais quitté Paris
Tu s'rais venue vivre à Rimouski
T'aurais appris la neige, le vent
Et t'aurais eu beaucoup d'enfants
Et chaque soir, à la fenêtre,
Pensant à ceux qui t'ont vue naître
Tu aurais entendu vraiment
Monter le Chant des partisans
Comme nos mères ici entendaient
Les cris de leurs hommes qui tombaient
C'est triste, quand on n'a pas d' pays,
D'aller mourir pour une patrie
Et vous auriez raccommodé
Avec des lettres et des baisers
Et des larmes pour les absents
Vos curs brisés par l'océan
Ils sont endormis sous la terre
Les Tremblay, Dubois, les Lachance
Couchés tout près de mon grand-père
Tous ceux qui sont morts pour la France
Oh, que le sommeil leur soit doux
Et que soit douce l'éternité
Salut aux hommes de chez vous
Qui sont morts pour ma liberté {x2}
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