Eternel Salaud Songtext
Songtext powered by LyricFind
Et si demain, tu ne me reconnaissais plus
Qu'au réveil on ait soulevé le voile
Que tu ne t'étais rendue compte de rien
De ce que j'avais fait, de ce que j'étais devenu
Que tes yeux s'ouvrent, que tes oreilles se débouchent
Sur un mec qui n'est plus que l'ombre de lui même
Un pantin bouffé par les désillusions
Et ça te fait l'effet, l'effet d'une douche froide
Et tu penses à ces jours où tu n'avais rien vu
Qu'au réveil on ait soulevé le voile
Que tu ne t'étais rendue compte de rien
De ce que j'avais fait, de ce que j'étais devenu
Que tes yeux s'ouvrent, que tes oreilles se débouchent
Sur un mec qui n'est plus que l'ombre de lui même
Un pantin bouffé par les désillusions
Et ça te fait l'effet, l'effet d'une douche froide
Et tu penses à ces jours où tu n'avais rien vu
Ces petites saloperies qui passent inaperçues
Cette dérive insensible, il t'a vraiment bien eu
Et la phrase est facile « ah, si tu avais su »
Pourtant reste le début, un amour sans nuage
Reste mes baisers, mon odeur, des images
Mais la suite te laisse sans forces et sans voix
Je suis devenu minable, sans scrupules et sans foi
Un éternel salaud
Tu me regarde dormir, affolée, dégoûtée
Tu sais que c'est fini en moins de deux secondes
Mon sourire endormi te paraît bien sournois,
Alors qu'hier encore tu le voyais candide
La vie l'a laminé et tordu et cassé
En un rictus aigri où l'amour est absent
T'aurais peut être pu m'aider à rester debout
Mais tu n'avais rien vu, ne culpabilise pas
Pourtant rappelle-toi quelques signes précis
Des changements progressifs, rappelle toi de nuits
Où tu restais les yeux, grands ouverts, dans le lit
Parce que tu n'aimais pas ce que j'avais fait ou dit
Tu partiras sans doute, demain, dans une semaine
Désabusée, violée, sans même un peu de peine
Je serai le passé, pas le bon, le mauvais
Tout souvenir de moi ne sera qu'une plaie
Un éternel salaud
Je ne changerai plus, éternel salaud,
Roi de la débandade et vendu jusqu'aux os
Et je t'aimerai encore, te traitant de putain
Avec tous les copains, le soir, au bar du coin
Et je t'aimerai encore, te traitant de putain
Avec tous les copains, le soir, au bar du coin
Cette dérive insensible, il t'a vraiment bien eu
Et la phrase est facile « ah, si tu avais su »
Pourtant reste le début, un amour sans nuage
Reste mes baisers, mon odeur, des images
Mais la suite te laisse sans forces et sans voix
Je suis devenu minable, sans scrupules et sans foi
Un éternel salaud
Tu me regarde dormir, affolée, dégoûtée
Tu sais que c'est fini en moins de deux secondes
Mon sourire endormi te paraît bien sournois,
Alors qu'hier encore tu le voyais candide
La vie l'a laminé et tordu et cassé
En un rictus aigri où l'amour est absent
T'aurais peut être pu m'aider à rester debout
Mais tu n'avais rien vu, ne culpabilise pas
Pourtant rappelle-toi quelques signes précis
Des changements progressifs, rappelle toi de nuits
Où tu restais les yeux, grands ouverts, dans le lit
Parce que tu n'aimais pas ce que j'avais fait ou dit
Tu partiras sans doute, demain, dans une semaine
Désabusée, violée, sans même un peu de peine
Je serai le passé, pas le bon, le mauvais
Tout souvenir de moi ne sera qu'une plaie
Un éternel salaud
Je ne changerai plus, éternel salaud,
Roi de la débandade et vendu jusqu'aux os
Et je t'aimerai encore, te traitant de putain
Avec tous les copains, le soir, au bar du coin
Et je t'aimerai encore, te traitant de putain
Avec tous les copains, le soir, au bar du coin
Songtext powered by LyricFind