Exister Songtext
Je veux ouvrir les yeux, sentir l'air m'animer
Et faire mes premiers pas dans le calme et la paix
Je veux courir et grandir, apprendre, évoluer
Sourire et croire que le monde c'est Disney
Je veux croiser l'amour sans même savoir ce que c'est
Dans les couloirs du lycée, rater le premier essai
Je veux chérir qui je veux, pas qu'on me dise qui je suis
Je veux voir de mes yeux au lieu de croire tout ce qu'on me dit
Et faire mes premiers pas dans le calme et la paix
Je veux courir et grandir, apprendre, évoluer
Sourire et croire que le monde c'est Disney
Je veux croiser l'amour sans même savoir ce que c'est
Dans les couloirs du lycée, rater le premier essai
Je veux chérir qui je veux, pas qu'on me dise qui je suis
Je veux voir de mes yeux au lieu de croire tout ce qu'on me dit
Je veux ma part de doute, faire mes choix, et voir ce que ça coûte
Si ma voie se cache ailleurs je veux le temps de trouver où
Laissez moi apprendre à aimer autant qu'à détester
Apprendre qu'à kiffer ma vie, à saisir mes chances
Je veux croiser le bonheur et ressentir ses effets
Je veux rire et pleurer, il paraît que c'est de ça qu'on est fait
Je veux qu'on me laisse une chance de gravir des monts et d'embrasser le Monde
A chaque pas, chaque souffle, chaque seconde
Juste exister
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Je veux m'arrêter de compter rien que le laisser filer
Ce temps, il joue un air qui m'a pris dans ses filets
Je veux que demain toise hier, le surpasse
Et que tous ceux qui se noient, puissent respirer à la surface
Que le vert repousse un peu au loin le gris de nos villes
Comme le bruit de nos vies, combler le puits de nos vides
De connaissance des autres, comme jadis à l'époque
Il ne descend pas du singe, l'homme, fuck, il descend du bloc, allez
C'est bon maintenant, il faut se lâcher un peu
Y a plein de révoltes, mieux, que celles de brûler un pneu
Je crée des rêves à partir de rien, écris à partir de tout
Leurs mots nous cassent nos liens, les miens leur brisent le cou
Mes cahiers au final ma mère les a amortis
Même si je regrette presque les "Je t'attends à la sortie"
Je veux ma tom yam épicée pas pour les Farang
Que la France, cesse de se déguiser, pas pour les calandres
Je veux comprendre l'être humain de mon vivant si possible
Et pourquoi lorsqu'on les tape les gens sont dociles ?
Puis monter aux barbelés aller où la vie est douce
Vidée de cris de blues, prier qu'on sourie tous
Juste d'exister
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Si ma voie se cache ailleurs je veux le temps de trouver où
Laissez moi apprendre à aimer autant qu'à détester
Apprendre qu'à kiffer ma vie, à saisir mes chances
Je veux croiser le bonheur et ressentir ses effets
Je veux rire et pleurer, il paraît que c'est de ça qu'on est fait
Je veux qu'on me laisse une chance de gravir des monts et d'embrasser le Monde
A chaque pas, chaque souffle, chaque seconde
Juste exister
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Je veux m'arrêter de compter rien que le laisser filer
Ce temps, il joue un air qui m'a pris dans ses filets
Je veux que demain toise hier, le surpasse
Et que tous ceux qui se noient, puissent respirer à la surface
Que le vert repousse un peu au loin le gris de nos villes
Comme le bruit de nos vies, combler le puits de nos vides
De connaissance des autres, comme jadis à l'époque
Il ne descend pas du singe, l'homme, fuck, il descend du bloc, allez
C'est bon maintenant, il faut se lâcher un peu
Y a plein de révoltes, mieux, que celles de brûler un pneu
Je crée des rêves à partir de rien, écris à partir de tout
Leurs mots nous cassent nos liens, les miens leur brisent le cou
Mes cahiers au final ma mère les a amortis
Même si je regrette presque les "Je t'attends à la sortie"
Je veux ma tom yam épicée pas pour les Farang
Que la France, cesse de se déguiser, pas pour les calandres
Je veux comprendre l'être humain de mon vivant si possible
Et pourquoi lorsqu'on les tape les gens sont dociles ?
Puis monter aux barbelés aller où la vie est douce
Vidée de cris de blues, prier qu'on sourie tous
Juste d'exister
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Sans soupir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Ne pas fuir
Sans attache, m'épanouir et respirer
Philippe Tristan Fragione, Geoffroy Mussard, Pascal Perez, Eric Mazel
© Kobalt Music Publishing Ltd.
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