La Vie à Deux Songtext
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Souvent, c'est arrivé que je te sente inquiète
Assise à m'observer, mains croisées sur la tête
Tu restais au salon, puis tu passais la porte,
Jaugeant le pavillon, priant qu'un vent l'emporte.
Nous voilà bien mal barrés... je le devinais dans tes yeux
J'assistais déjà, sans broncher, à nos adieux :
On n'en aura fait qu'une bouchée, de la vie à deux.
Du coup, j'anticipais sur ma future fatigue
Assise à m'observer, mains croisées sur la tête
Tu restais au salon, puis tu passais la porte,
Jaugeant le pavillon, priant qu'un vent l'emporte.
Nous voilà bien mal barrés... je le devinais dans tes yeux
J'assistais déjà, sans broncher, à nos adieux :
On n'en aura fait qu'une bouchée, de la vie à deux.
Du coup, j'anticipais sur ma future fatigue
Les muscles ankylosés qu'aucune envie n'irrigue
Et les nuages bleutés et le soleil superbe
S'en trouvaient invités à s'écraser dans l'herbe.
Nous voilà privés d'été, et l'hiver s'annonce douloureux
Dans le froid, les lèvres gercées et la foudre au fond des yeux,
Nous, on l'a cryogénisée, la vie à deux.
Parfois, tu fus frappée par un pareil échec
Puis soudain persuadée qu'il faudrait faire avec :
C'est qu'on existe encore, c'est qu'on espère toujours
En attendant la mort, on considère l'amour,
Et nous voilà, pieds et poings liés, à vivre de serments foireux
Si déjà nos jours sont comptés, tant pis pour eux
Je ne crois pas les regretter.
Nous voilà, les pieds, les poings liés, à vivre de serments foireux
Si déjà nos jours sont comptés, ce sera tant pis pour eux
Je ne crois pas les regretter qu'un jour sur deux.
(Merci à Laure pour cettes paroles)
Et les nuages bleutés et le soleil superbe
S'en trouvaient invités à s'écraser dans l'herbe.
Nous voilà privés d'été, et l'hiver s'annonce douloureux
Dans le froid, les lèvres gercées et la foudre au fond des yeux,
Nous, on l'a cryogénisée, la vie à deux.
Parfois, tu fus frappée par un pareil échec
Puis soudain persuadée qu'il faudrait faire avec :
C'est qu'on existe encore, c'est qu'on espère toujours
En attendant la mort, on considère l'amour,
Et nous voilà, pieds et poings liés, à vivre de serments foireux
Si déjà nos jours sont comptés, tant pis pour eux
Je ne crois pas les regretter.
Nous voilà, les pieds, les poings liés, à vivre de serments foireux
Si déjà nos jours sont comptés, ce sera tant pis pour eux
Je ne crois pas les regretter qu'un jour sur deux.
(Merci à Laure pour cettes paroles)
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