Le Péril Jeune Songtext
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Yeah hein hein
La misère a un sourire frère
La misère a un sourire tu sai?
El matador, Brasco.........
Quand j'étais p'tit c'est à peine si on mfetait mon anniversaire, le
père Noël était une ordure qui avais pris perpète, un daron au chômage
et une mère volontaire, qui gardais le sourire pour ses enfants même ds les pires galères,
Passez la bonnes humeur, t'oublie les crampes a l'estomac, t'attend les alloc du début du mois avec courage,
ca m'a pas empêcher de passez du bon temps, le fait de partager un
La misère a un sourire frère
La misère a un sourire tu sai?
El matador, Brasco.........
Quand j'étais p'tit c'est à peine si on mfetait mon anniversaire, le
père Noël était une ordure qui avais pris perpète, un daron au chômage
et une mère volontaire, qui gardais le sourire pour ses enfants même ds les pires galères,
Passez la bonnes humeur, t'oublie les crampes a l'estomac, t'attend les alloc du début du mois avec courage,
ca m'a pas empêcher de passez du bon temps, le fait de partager un
repas a 7 nous rendais content, j'ai grandi dans l'amour de la chaleur
familiale, j'ai Pa envier les camarades de classe de leur nouvel
Adidas, je me suis dit chacun sa vie, chacun son rang social, jparle pas svt
aux filles paske mes habille st trop sales,
Jvai pa m'apitoyer sur mon sort, et me mettre en pleur, la pauvreté se
surmonte la richesse est ds le coeur, Malgré toutes les difficultés
j'ai refusé de souffrir, la vie m'a appris ke même la misère savait sourire.
Pask 'on refuse de boire la tasse, on passe au dessus des lois, très vite on dérive seul,
La jeunesse a dla crasse et du sang sur les doigts, viens faire un tour dans mon péril jeune. (Bis)
mais comment tu veux kJoublie d'où jvien gwada ma ville natale, mes
parents qui mprotegais dla rue et dses p'tites racailles, pask'a l'époke
on avait peu, ca svoyais ds mes yeux, kan jrevais de cette paire de
nike bleue, Jai grandi ds ma zermis sans faire le râleur, heureusement
kil ya l'amour de la famille pour compenser l'malheur, toujours posté
là ou les gamins traine, pour jouer au foot on sacrifiait une canette
pleine, jme contente de ski a dans la casserole, ya pa dgalere, on
partage le bout dpain et la boisson, pour nous l'état c'est pas casser le
cul , j'ai + confiance au système D k'a la sécu, enlève nous cette joie de vivre et c'est le désert, j'ai vu sur le visage du daron kan il
rentrai avec des cernes, ma misère a un sourire qui endurci ma
cuirasse, si jla contrarie elle mfera des grimace.
Pask 'on refuse de boire la tasse, on passe au dessus des lois, très vite on dérive seul,
La jeunesse a dla crasse et du sang sur les doigts, viens faire un tour dans mon péril jeune. (Bis)
J'ai eu une vie dmerde, mais Jai retenu ke ces bons cotés, dans les
mauvaise passe les difficultés mon rodés, ca m'a pa empêcher
d'entreprendre des projets, sait tu ske c'est de vivre fauché, eskivant les crochets,
Jme suis pas laisser abattre, j'ai joué toutes mes cartes, la misère
pour épouse juska ske la mort nous sépare, je n'regrette pas ce goût
amère, je suis fière de n' jamais avoir Fai couler d'larmes sur le joues dma mère,
Le moyens du bord est devenu notre allier, t'a Bo avoir tous les
diplômes on te bloque l'allée, jtenveu pas si tu viens des Bo kartier, ta
pas choisi de naitre avec une famille ho placé, j'ai pas choisi mon
rêve de mettre les mien en lieu sure, je l'assume, tant mieux si c'est
une villa ds le sud, j'ai plus peur de la chute kan j'encaisse les
coups dure, on fait avec skons a sur le bitume c'est la coutumes.
Pask 'on refuse de boire la tasse, on passe au dessus des lois, très vite on dérive seul,
La jeunesse a dla crasse et du sang sur les doigts, viens faire un tour
dans mon péril jeune. (Bis)
familiale, j'ai Pa envier les camarades de classe de leur nouvel
Adidas, je me suis dit chacun sa vie, chacun son rang social, jparle pas svt
aux filles paske mes habille st trop sales,
Jvai pa m'apitoyer sur mon sort, et me mettre en pleur, la pauvreté se
surmonte la richesse est ds le coeur, Malgré toutes les difficultés
j'ai refusé de souffrir, la vie m'a appris ke même la misère savait sourire.
Pask 'on refuse de boire la tasse, on passe au dessus des lois, très vite on dérive seul,
La jeunesse a dla crasse et du sang sur les doigts, viens faire un tour dans mon péril jeune. (Bis)
mais comment tu veux kJoublie d'où jvien gwada ma ville natale, mes
parents qui mprotegais dla rue et dses p'tites racailles, pask'a l'époke
on avait peu, ca svoyais ds mes yeux, kan jrevais de cette paire de
nike bleue, Jai grandi ds ma zermis sans faire le râleur, heureusement
kil ya l'amour de la famille pour compenser l'malheur, toujours posté
là ou les gamins traine, pour jouer au foot on sacrifiait une canette
pleine, jme contente de ski a dans la casserole, ya pa dgalere, on
partage le bout dpain et la boisson, pour nous l'état c'est pas casser le
cul , j'ai + confiance au système D k'a la sécu, enlève nous cette joie de vivre et c'est le désert, j'ai vu sur le visage du daron kan il
rentrai avec des cernes, ma misère a un sourire qui endurci ma
cuirasse, si jla contrarie elle mfera des grimace.
Pask 'on refuse de boire la tasse, on passe au dessus des lois, très vite on dérive seul,
La jeunesse a dla crasse et du sang sur les doigts, viens faire un tour dans mon péril jeune. (Bis)
J'ai eu une vie dmerde, mais Jai retenu ke ces bons cotés, dans les
mauvaise passe les difficultés mon rodés, ca m'a pa empêcher
d'entreprendre des projets, sait tu ske c'est de vivre fauché, eskivant les crochets,
Jme suis pas laisser abattre, j'ai joué toutes mes cartes, la misère
pour épouse juska ske la mort nous sépare, je n'regrette pas ce goût
amère, je suis fière de n' jamais avoir Fai couler d'larmes sur le joues dma mère,
Le moyens du bord est devenu notre allier, t'a Bo avoir tous les
diplômes on te bloque l'allée, jtenveu pas si tu viens des Bo kartier, ta
pas choisi de naitre avec une famille ho placé, j'ai pas choisi mon
rêve de mettre les mien en lieu sure, je l'assume, tant mieux si c'est
une villa ds le sud, j'ai plus peur de la chute kan j'encaisse les
coups dure, on fait avec skons a sur le bitume c'est la coutumes.
Pask 'on refuse de boire la tasse, on passe au dessus des lois, très vite on dérive seul,
La jeunesse a dla crasse et du sang sur les doigts, viens faire un tour
dans mon péril jeune. (Bis)
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