Le Souffle De Vivre Songtext
Souvent désabusé
Un peu désaccordé
Ce maudit air de ne pas y toucher
Les deux mains dans les poches
Je me sens vraiment moche
Que mon cœur se décroche à en pleurer
Je ne peux plus parler
Même plus murmurer
Je me sens dans la peau d’un coup dans l’eau
Un peu désaccordé
Ce maudit air de ne pas y toucher
Les deux mains dans les poches
Je me sens vraiment moche
Que mon cœur se décroche à en pleurer
Je ne peux plus parler
Même plus murmurer
Je me sens dans la peau d’un coup dans l’eau
Je suis un garçon discret
Si désorganisé dans le monde secret et sacré
Mais j’ai la force de vivre, de rire, de relativiser
Ces ombres qui me poursuivent,
Les dérives aux confins des pensées
Je suis un drôle de type
Qui se fout des principes
J’ai jamais l’air content
Je serre les dents
Je passe pour un teigneux
Qui se prends au sérieux
J’ai sûrement trop de blues
Dans les yeux
Je lis dans les pensées
de ceux qui savent aimer
je peux les reconnaître, les discerner
Ecouter leurs souffrances et les réconforter
Dévisager ce monde et le toiser
Mais j’ai le souffle de vivre et de rire, de relativiser
Ces ombres qui me poursuivent,
Les dérives, aux confins des pensées
J’ai l’air de m’en foutre
De vouloir passer
Je jette des bâtons dans ma déroute
Je crane et j’encaisse
Comme un chien fou en laisse
J’y met toute ma vérité qui blesse
Mais j’ai la force de vivre et de rire, de relativiser
Ces ombres qui me poursuivent, les dérives, aux confins des pensées
Si désorganisé dans le monde secret et sacré
Mais j’ai la force de vivre, de rire, de relativiser
Ces ombres qui me poursuivent,
Les dérives aux confins des pensées
Je suis un drôle de type
Qui se fout des principes
J’ai jamais l’air content
Je serre les dents
Je passe pour un teigneux
Qui se prends au sérieux
J’ai sûrement trop de blues
Dans les yeux
Je lis dans les pensées
de ceux qui savent aimer
je peux les reconnaître, les discerner
Ecouter leurs souffrances et les réconforter
Dévisager ce monde et le toiser
Mais j’ai le souffle de vivre et de rire, de relativiser
Ces ombres qui me poursuivent,
Les dérives, aux confins des pensées
J’ai l’air de m’en foutre
De vouloir passer
Je jette des bâtons dans ma déroute
Je crane et j’encaisse
Comme un chien fou en laisse
J’y met toute ma vérité qui blesse
Mais j’ai la force de vivre et de rire, de relativiser
Ces ombres qui me poursuivent, les dérives, aux confins des pensées
Daniel LAVOIE
© ABACABA EDITIONS, SODRAC
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