Les Torrents Défendus Songtext
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Encore, flambent dans la nuit,
nos âmes fières sur les trottoirs de vos quartiers interdits.
Encore twistent sans répit, nos silhouettes dans le noir,
dans vos quartiers ennemis.
Que vivent les fièvres de la jeunesse, rivières de nos vingt ans,
qui galopent folles dans nos veines et ce jusqu'au dernier printemps.
Pourvu que jamais rien ne les freine,
laves de sueur et de sang,
qui libérées grondent et puis déchaînent, ces torrents défendus,
nos âmes fières sur les trottoirs de vos quartiers interdits.
Encore twistent sans répit, nos silhouettes dans le noir,
dans vos quartiers ennemis.
Que vivent les fièvres de la jeunesse, rivières de nos vingt ans,
qui galopent folles dans nos veines et ce jusqu'au dernier printemps.
Pourvu que jamais rien ne les freine,
laves de sueur et de sang,
qui libérées grondent et puis déchaînent, ces torrents défendus,
qui intoxiquent nos insomnies,
de leur infectieuse mélancolie.
Encore, brillent dans la nuit,
les âmes fières de l'histoire, dans vos quartiers ennemis.
Que vivent les fièvres de la jeunesse, rivières de nos vingt ans,
qui galopent folles dans nos veines et ce jusqu'au dernier printemps.
Pourvu que jamais rien ne les freine, laves de sueur et de sang,
qui libérées grondent et puis déchaînent,
ces torrents défendus, qui intoxiquent nos insomnies,
de leur infectieuse mélancolie.
Si un jour j'en ai marre, la tête brûlante, le coeur froid,
souffrirai-je un jour de moins souffrir pour toi?
Que vivent les fièvres de la jeunesse,
rivières de nos vingt ans, qui galopent folles dans nos veines
et ce jusqu'au dernier printemps.
Pourvu que jamais rien ne les freine,
laves de sperme et de sang, qui libérées grondent et puis déchaînent, ces torrents défendus,
qui intoxiquent nos insomnies,
de leur infectieuse mélancolie.
Mais si j'en ai ma claque, la tête brûlante, le coeur froid.
Souffrirai-je un jour de moins souffrir pour toi?
(Merci à Muirgheal pour cettes paroles)
de leur infectieuse mélancolie.
Encore, brillent dans la nuit,
les âmes fières de l'histoire, dans vos quartiers ennemis.
Que vivent les fièvres de la jeunesse, rivières de nos vingt ans,
qui galopent folles dans nos veines et ce jusqu'au dernier printemps.
Pourvu que jamais rien ne les freine, laves de sueur et de sang,
qui libérées grondent et puis déchaînent,
ces torrents défendus, qui intoxiquent nos insomnies,
de leur infectieuse mélancolie.
Si un jour j'en ai marre, la tête brûlante, le coeur froid,
souffrirai-je un jour de moins souffrir pour toi?
Que vivent les fièvres de la jeunesse,
rivières de nos vingt ans, qui galopent folles dans nos veines
et ce jusqu'au dernier printemps.
Pourvu que jamais rien ne les freine,
laves de sperme et de sang, qui libérées grondent et puis déchaînent, ces torrents défendus,
qui intoxiquent nos insomnies,
de leur infectieuse mélancolie.
Mais si j'en ai ma claque, la tête brûlante, le coeur froid.
Souffrirai-je un jour de moins souffrir pour toi?
(Merci à Muirgheal pour cettes paroles)
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