L'Ultime Sentence Songtext
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Le ciel s'ouvre, l'orage claque
Et le tonnerre se fait entendre
Semble-t-il être l'heure de l'ultime sentence ?
Même les choses futiles m'enchantent
Souffrance et manque [?] ensemble
La mort m'engloutit lentement
Stupide comme un soupir d'enfant
Je veux lutter dignement
Donne m'en le courage et la force
Estomaquer, j'm'accroche
Et le tonnerre se fait entendre
Semble-t-il être l'heure de l'ultime sentence ?
Même les choses futiles m'enchantent
Souffrance et manque [?] ensemble
La mort m'engloutit lentement
Stupide comme un soupir d'enfant
Je veux lutter dignement
Donne m'en le courage et la force
Estomaquer, j'm'accroche
A l'idée de soulager l'atroce
L'envie de tout lâcher m'approche
Seconde après seconde
La mort est-elle délivrance ?
Nous ne l'saurons qu'après ce monde
Toc toc toc
J'viens sous ce cadre crépusculaire
J'm'appelle crise cardique
Et j'viens faire dépérir ta jugulaire
Un pantin désarticulé
Qu'importe ta masse musculaire
Ça s'cache sous la forme d'un ulcère
Pour te le prouver par A + B
T'es mort, y'a pas de cas suspect
Arbore une conduite adulte et j'absorbe tes ondes vitales
Rusé, [ta gorge ?], ton calme immaculé
Saisir les âmes quasi-hasardeusement
Voilà donc ton dessein
Y'a pas de hasard, l'amour éteindre
Et mettre un terme à ton destin
[Refrain]
[?]
[Couplet 2]
Je reviens sur mes traces
Remonte le compteur à l'envers
Revois chaque minute de mon passé
Mais ne le fais pas sans gêne
Cela n'était donc pas un mythe
Une fois l'ultime sentence atteinte
Mon existence défunte s'invite
Au cours d'une lancinante étreinte
Regrets, remords, nostalgie s'entrechoquent
A vitesse grand V
A l'instant T, le moral habité
Je vis le ciel trempé
Pourquoi ai-je prêché la démence ?
Pourquoi ai-je pressé la détente ?
Et n'ai-je pas souhaité la clémence ?
Hélas, je m'essaie à quémander
Les cors déraillés de l'orgue
Qui me rappellent ta [?]
Et j'donnerai tout pour pas me faire enrôler
Par la bête à cornes
Sur toutes mes actions scélérates
Loin des bastions vénérables
Et je crâche à mesure ces immondices
Et descend de mon piédestal
Happé par c'plafond céleste
[?] senteur végétale
Priant le salut d'mon âme placé
Au creux des mains de l'éternel
Le souverain a délibéré
Mon rythme cardiaque en déclin
Mon dernier coup d'éclat
Ces voix qui sonnent le commencement de la fin
[Refrain]
[?]
L'envie de tout lâcher m'approche
Seconde après seconde
La mort est-elle délivrance ?
Nous ne l'saurons qu'après ce monde
Toc toc toc
J'viens sous ce cadre crépusculaire
J'm'appelle crise cardique
Et j'viens faire dépérir ta jugulaire
Un pantin désarticulé
Qu'importe ta masse musculaire
Ça s'cache sous la forme d'un ulcère
Pour te le prouver par A + B
T'es mort, y'a pas de cas suspect
Arbore une conduite adulte et j'absorbe tes ondes vitales
Rusé, [ta gorge ?], ton calme immaculé
Saisir les âmes quasi-hasardeusement
Voilà donc ton dessein
Y'a pas de hasard, l'amour éteindre
Et mettre un terme à ton destin
[Refrain]
[?]
[Couplet 2]
Je reviens sur mes traces
Remonte le compteur à l'envers
Revois chaque minute de mon passé
Mais ne le fais pas sans gêne
Cela n'était donc pas un mythe
Une fois l'ultime sentence atteinte
Mon existence défunte s'invite
Au cours d'une lancinante étreinte
Regrets, remords, nostalgie s'entrechoquent
A vitesse grand V
A l'instant T, le moral habité
Je vis le ciel trempé
Pourquoi ai-je prêché la démence ?
Pourquoi ai-je pressé la détente ?
Et n'ai-je pas souhaité la clémence ?
Hélas, je m'essaie à quémander
Les cors déraillés de l'orgue
Qui me rappellent ta [?]
Et j'donnerai tout pour pas me faire enrôler
Par la bête à cornes
Sur toutes mes actions scélérates
Loin des bastions vénérables
Et je crâche à mesure ces immondices
Et descend de mon piédestal
Happé par c'plafond céleste
[?] senteur végétale
Priant le salut d'mon âme placé
Au creux des mains de l'éternel
Le souverain a délibéré
Mon rythme cardiaque en déclin
Mon dernier coup d'éclat
Ces voix qui sonnent le commencement de la fin
[Refrain]
[?]
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