Mononoké Songtext

Eden Dillinger

von Olaf

Mononoké Songtext
J'observe les fleurs aux fenêtres
Aperçois que j'n'ai jamais levé les yeux
Cette femme vénéneuse foule l'entrée de l'hôtel
Aux yeux brillants comme deux pierres précieuses
Elle pleure des larmes de saphirs
De la braise dans les pupilles
Elle ne cherche plus l'homme de sa vie
La belle saigne des gouttes de rubis
Esseulé, vision biaisée
Piégée confond miroirs et fenêtres
Le feu naît, son venin
Dans ses yeuz s'évanouit
Et c'est fini, c'est fané

Dix milles messages sur l'répondeur
C'est difficile d'toucher son cœur
Faut s'contenter d'coucher son corps
Donc à chaque soir ses démons pleurent
Elle est seule
Se rattraper elle essaie
Celle qu'elle aimait l'a laissé là
Qui peut la blesser, hein ?

J'aimerais l'appeler, ce soir
J'aimerais l'appeler, ce soir
J'aimerais l'appeler, ce soir
J'aimerais l'appeler, ce soir

(Olaf)
Oh Mononoké
Oh Mononoké
Oh Mononoké
Oh Mononoké

Princesse comme Mononoké
Elle recale les minots qui l'appelle
Se balade en kimono
Elle parfait sa manucure
Belle comme Monica
Quand elle me dit que, elle m'a niqué
Mon cœur se brise comme le miroir d'un ancien mannequin
Elle aimerait que j'la regarde comme j'la regarde
Son regard froid se montre narquois
Cœur grince comme chaque doigts
Sur une ardoise, elle
Change mon quotidien gris en aquarelle

On s'reverra dans l'au-delà
Ne possède que des airs de ruse
N'est plus sensible au flot de larmes
Verse le poison, dans l'eau de rose

J'aimerais l'appeler, ce soir
J'aimerais l'appeler, ce soir
J'aimerais l'appeler, ce soir
J'aimerais l'appeler, ce soir

Dix milles messages sur l'répondeur
C'est difficile de toucher son cœur
Faut s'contenter d'coucher son corps
Donc à chaque soir ses démons pleurent