NaOCl Songtext
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Verse le sirop de javel comme une prise habituelle.
Aseptique soldat s'en mêle, corrode en caresse.
Et sans trop d'eau, j'en raffole.
Je ne suis pas folle.
Et si cette peau que je pelle n'était pas réelle ?
Alors, j'ai mangé les vers qui rampaient dans les selles.
Régurgité mes cheveux déracinés par les n?uds.
Javeline est fille éternelle.
Ma maîtresse rythme la prophylaxie de mon cerveau de miel.
Cuivre ma peau et cendre mes nuits en four sexuel...sexuel.
Aseptique soldat s'en mêle, corrode en caresse.
Et sans trop d'eau, j'en raffole.
Je ne suis pas folle.
Et si cette peau que je pelle n'était pas réelle ?
Alors, j'ai mangé les vers qui rampaient dans les selles.
Régurgité mes cheveux déracinés par les n?uds.
Javeline est fille éternelle.
Ma maîtresse rythme la prophylaxie de mon cerveau de miel.
Cuivre ma peau et cendre mes nuits en four sexuel...sexuel.
Menstruelle, Noctuelle.
Ma sextine est l'arcane de ma sombre gélatine.
Méninges avancées à l'anosmie anorganique.
Mon église primitive est encore une chimère alcaline.
Javeline est infravie, salope.
Javeline est acéphalie, salope.
Mon porte-mort émétique complote.
Salope !
Regardez-là !
Celle-là traîne ses glaires dans ses culottes tièdes.
Cette putain de tuyau utérin malaxe son saphisme de porcine.
Pas deux fois, pas cette fois, moi, sénescente.
Jamais tu ne me reprendras.
Maman mon c?ur voudrait cette nuit s'arrêter.
Les feuilles et la terre gèlent au fond du lit à mes pieds.
C'est eux !
De leurs mains sales, ils pétrissent, calcinent, tranchent ma peau.
Pissent dans mon lit aux souvenirs poupons.
Cette odeur d'enfant flottant dans mes yeux qu'ils dînent.
Exalte leur appétit de spectacle à l'aspect chiffon. Ce cénacle suce et gratte mes phalanges.
Comme une nourriture des anges.
Je ne veux pas partir seule...
Ma sextine est l'arcane de ma sombre gélatine.
Méninges avancées à l'anosmie anorganique.
Mon église primitive est encore une chimère alcaline.
Javeline est infravie, salope.
Javeline est acéphalie, salope.
Mon porte-mort émétique complote.
Salope !
Regardez-là !
Celle-là traîne ses glaires dans ses culottes tièdes.
Cette putain de tuyau utérin malaxe son saphisme de porcine.
Pas deux fois, pas cette fois, moi, sénescente.
Jamais tu ne me reprendras.
Maman mon c?ur voudrait cette nuit s'arrêter.
Les feuilles et la terre gèlent au fond du lit à mes pieds.
C'est eux !
De leurs mains sales, ils pétrissent, calcinent, tranchent ma peau.
Pissent dans mon lit aux souvenirs poupons.
Cette odeur d'enfant flottant dans mes yeux qu'ils dînent.
Exalte leur appétit de spectacle à l'aspect chiffon. Ce cénacle suce et gratte mes phalanges.
Comme une nourriture des anges.
Je ne veux pas partir seule...
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