Notre Dame Et La France Songtext
J'ai fini par quitter Notre-Dame et la France
Les sanglots de Verlaine, Hugo et ses souffrances
Valjean Quasimodo, misérable martyr
J'ai préféré partir sans jamais revenir
J'ai fini par quitter Notre Dame et la France
Abandonné Van Gogh au tournesol de Vence
Les hallucinations à Saint-Rémy-l'Absinthe
Ajouté des couleurs à la lumière éteinte
J'ai fini par quitter Notre-Dame et la danse
Du Boléro-Dravel, roulement sans dissonance
Les sanglots de Verlaine, Hugo et ses souffrances
Valjean Quasimodo, misérable martyr
J'ai préféré partir sans jamais revenir
J'ai fini par quitter Notre Dame et la France
Abandonné Van Gogh au tournesol de Vence
Les hallucinations à Saint-Rémy-l'Absinthe
Ajouté des couleurs à la lumière éteinte
J'ai fini par quitter Notre-Dame et la danse
Du Boléro-Dravel, roulement sans dissonance
Et plutôt que m'essayer à d'autres originalités
J'ai fermé le piano et avalé la clé
J'ai fini par quitter Notre-Dame-Tout-Haute
Et laisser Vincent-François-Paul et tous les autres
Auguste-Tallouis-Lumière, mon cinéma d'avant
Romi-Adelon et Signoré à mon temps
J'ai fini par quitter
Notre dame et l'enfance
Sa liberté, chérie
Les rois, les présidences
Tout ce qui était nous
Trois couleurs d'un drapeau
Je vous salue, Marie
Amour, année zéro
J'ai fini par aller
Quand d'autres s'impatientaient
Voir ailleurs si on savait
Apprendre à aimer Elle avait nous blessure
Dans un bain de jouvence
Sans jamais oublier
Notre dame et la chance
D'avoir eu dans la vie
Cette correspondance
Car je sais qu'il n'y aura jamais plus beau
Que la France
Oui, je sais qu'il n'y aura jamais plus beau
Que la France
J'ai fermé le piano et avalé la clé
J'ai fini par quitter Notre-Dame-Tout-Haute
Et laisser Vincent-François-Paul et tous les autres
Auguste-Tallouis-Lumière, mon cinéma d'avant
Romi-Adelon et Signoré à mon temps
J'ai fini par quitter
Notre dame et l'enfance
Sa liberté, chérie
Les rois, les présidences
Tout ce qui était nous
Trois couleurs d'un drapeau
Je vous salue, Marie
Amour, année zéro
J'ai fini par aller
Quand d'autres s'impatientaient
Voir ailleurs si on savait
Apprendre à aimer Elle avait nous blessure
Dans un bain de jouvence
Sans jamais oublier
Notre dame et la chance
D'avoir eu dans la vie
Cette correspondance
Car je sais qu'il n'y aura jamais plus beau
Que la France
Oui, je sais qu'il n'y aura jamais plus beau
Que la France
