Ouija Songtext
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
La prod est Piégée
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écoute guitare de Piège, écris pour n'pas oublier
Pendant des heures combinées, regarde mes cernes ont triplé
J'vois pas d'lumière confiné car dans mon crâne, on s'y perd
J'ai les yeux canon scié, ainsi qu'le cœur désert comprimé
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
La prod est Piégée
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écoute guitare de Piège, écris pour n'pas oublier
Pendant des heures combinées, regarde mes cernes ont triplé
J'vois pas d'lumière confiné car dans mon crâne, on s'y perd
J'ai les yeux canon scié, ainsi qu'le cœur désert comprimé
Damn, dans pleurs je baigne, j'me demande comment les baiser
Quand j'rentrе le soir, route du succès est un anglе droit
Mes textes brûlent toutes leurs langues de bois
J'suis dans une bulle sinistre, je ne veux pas que ces putes s’immiscent
Flamme dans mes yeux provient de toutes ces nuits à rapper sous des néons qui brûlent l'iris
Beaucoup d'blabla, peu d'impacts sur le pare-balle
Ils vont die car drive-by par le karma
J'mords pas à l'hameçon, eux ils leur poussent des nageoires
J'avale leur poison et ça n'étanche pas ma soif
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écris tout seul comme un ouija
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écris tout seul comme un ouija
Ils rappent comme en 2004, je n'vois qu'des vieilles reliques
Ils n'font qu'parler d'broliques, moi, mon cas est délicat
Je ne fais pas d'dédicaces, ma tête c'est bordélique
Depuis l'cordon ombilical, je ne vois que des porcs belliqueux C'est toute ma noirceur qui t'arrose, j'ai l'humeur d'une photo d'Takeshi Kitano
Quand ça ira mieux, j'ferais autre chose, il y a du rouge dans l'eau de rose
Que du noir dans matière grise, insignifiant au milieu de la frise
Toujours à deux doigts de les mettre dans la prise, conçois la paix seulement entre deux crises
Beaucoup d'blabla, peu d'impacts sur le pare-balle
Ils vont die car drive-by par le karma
J'mords pas à l'hameçon, eux ils leur poussent des nageoires
J'avale leur poison et ça n'étanche pas ma soif
J'vois leur regard médusé, sur toutes leurs plaies, j'mets du sel
J'vais enfin les épuiser pour les faire disparaître, j'fais du zèle
J'sais qu'la pendule accélère et j'suis pendu à ses lèvres
Je ne veux plus le CLS, société ne vend plus assez de rêve
J'cueille plus de pommes de pins, hier enfant de cœur homme demain
L'impression d'asphyxie du mal à s'fixer, j'suis matrixé, j'vois qu'des hats tricks
Donc y a plus rien qui m'choque, j'retiens que l'traître a les mains qui glissent
Je sais qu'il a faim, Iblis et qu'la fin est proche
Comme un fils qui cri et des freins qui crissent
Beaucoup d'blabla, peu d'impacts sur le pare-balle
Ils vont die car drive-by par le karma
J'mords pas à l'hameçon, eux ils leur poussent des nageoires
J'avale leur poison et ça n'étanche pas ma soif
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écris tout seul comme un ouija
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écris tout seul comme un ouija
Quand j'rentrе le soir, route du succès est un anglе droit
Mes textes brûlent toutes leurs langues de bois
J'suis dans une bulle sinistre, je ne veux pas que ces putes s’immiscent
Flamme dans mes yeux provient de toutes ces nuits à rapper sous des néons qui brûlent l'iris
Beaucoup d'blabla, peu d'impacts sur le pare-balle
Ils vont die car drive-by par le karma
J'mords pas à l'hameçon, eux ils leur poussent des nageoires
J'avale leur poison et ça n'étanche pas ma soif
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écris tout seul comme un ouija
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écris tout seul comme un ouija
Ils rappent comme en 2004, je n'vois qu'des vieilles reliques
Ils n'font qu'parler d'broliques, moi, mon cas est délicat
Je ne fais pas d'dédicaces, ma tête c'est bordélique
Depuis l'cordon ombilical, je ne vois que des porcs belliqueux C'est toute ma noirceur qui t'arrose, j'ai l'humeur d'une photo d'Takeshi Kitano
Quand ça ira mieux, j'ferais autre chose, il y a du rouge dans l'eau de rose
Que du noir dans matière grise, insignifiant au milieu de la frise
Toujours à deux doigts de les mettre dans la prise, conçois la paix seulement entre deux crises
Beaucoup d'blabla, peu d'impacts sur le pare-balle
Ils vont die car drive-by par le karma
J'mords pas à l'hameçon, eux ils leur poussent des nageoires
J'avale leur poison et ça n'étanche pas ma soif
J'vois leur regard médusé, sur toutes leurs plaies, j'mets du sel
J'vais enfin les épuiser pour les faire disparaître, j'fais du zèle
J'sais qu'la pendule accélère et j'suis pendu à ses lèvres
Je ne veux plus le CLS, société ne vend plus assez de rêve
J'cueille plus de pommes de pins, hier enfant de cœur homme demain
L'impression d'asphyxie du mal à s'fixer, j'suis matrixé, j'vois qu'des hats tricks
Donc y a plus rien qui m'choque, j'retiens que l'traître a les mains qui glissent
Je sais qu'il a faim, Iblis et qu'la fin est proche
Comme un fils qui cri et des freins qui crissent
Beaucoup d'blabla, peu d'impacts sur le pare-balle
Ils vont die car drive-by par le karma
J'mords pas à l'hameçon, eux ils leur poussent des nageoires
J'avale leur poison et ça n'étanche pas ma soif
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écris tout seul comme un ouija
Inspiré, j'écris tout seul comme un ouija
J'écris tout seul comme un ouija