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Petit Géant Songtext
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Petit géant
Pour être franc j'avais vécu presque plus qu'il n'en fallait,
je me souviens a peine du début, je suis vieux mais sans regret
et je te vois dans ma chambre, même si je n'ouvre plus les yeux,
ta peine est tellement grande, mais c'est mon heure c'est le jeux
Je ne suis plus l'ombre de ton père J'arrive à peine à respirer,
n'empêche t'es ce que j'ai de plus cher .
C'est si dur de te quitter de tout quitter
Tout quitter .
En poussant mon dernier souffle, j'ai comme respirer de la lumière,
Pour être franc j'avais vécu presque plus qu'il n'en fallait,
je me souviens a peine du début, je suis vieux mais sans regret
et je te vois dans ma chambre, même si je n'ouvre plus les yeux,
ta peine est tellement grande, mais c'est mon heure c'est le jeux
Je ne suis plus l'ombre de ton père J'arrive à peine à respirer,
n'empêche t'es ce que j'ai de plus cher .
C'est si dur de te quitter de tout quitter
Tout quitter .
En poussant mon dernier souffle, j'ai comme respirer de la lumière,
encore là j'avais un doute mais j'ai décollé de la terre,
mon âme s'enfuit par le toit, un peu pareil a de la vapeur,
je pense encore à toi, mais t'es plus comme une couleur,
je ne peux plus revenir en arrière, je dépasse l'il du télescope,
je file plus vite que la lumière, que renvoient même les étoiles mortes
et puis je plonge dans un trou noir, je vois des enfants stroboscopes,
c'est blanc c'est beau, c'est dur à croire, mais je survole les époques,
je découvre tout ce qu'il y a derrière, je souris même sans visage,
mon corps est un SCE stellaire réfléchi jusquaux paysages,
soudain je ralentit d'un coup, je suis des atomes de bonheur,
y a comme une fête c'est comme chez nous
Je reconnais mes frères et surs,
je suis multiple à l'infini dans l'infiniment grand
c'est fou et je me dit, quelle belle vie pour un géant petit géant
petit géant petit géant
Maintenant je sais la fin du temps et le secret des choses,
tout ce que j'ai été avant ce qu'on devient quand on implose .
mais je ne suis jamais très loin même un milliard de galaxies
et quand le vent frôle ta main c'est toujours moi qui te suis
(Merci à Alen Monique pour cettes paroles)
mon âme s'enfuit par le toit, un peu pareil a de la vapeur,
je pense encore à toi, mais t'es plus comme une couleur,
je ne peux plus revenir en arrière, je dépasse l'il du télescope,
je file plus vite que la lumière, que renvoient même les étoiles mortes
et puis je plonge dans un trou noir, je vois des enfants stroboscopes,
c'est blanc c'est beau, c'est dur à croire, mais je survole les époques,
je découvre tout ce qu'il y a derrière, je souris même sans visage,
mon corps est un SCE stellaire réfléchi jusquaux paysages,
soudain je ralentit d'un coup, je suis des atomes de bonheur,
y a comme une fête c'est comme chez nous
Je reconnais mes frères et surs,
je suis multiple à l'infini dans l'infiniment grand
c'est fou et je me dit, quelle belle vie pour un géant petit géant
petit géant petit géant
Maintenant je sais la fin du temps et le secret des choses,
tout ce que j'ai été avant ce qu'on devient quand on implose .
mais je ne suis jamais très loin même un milliard de galaxies
et quand le vent frôle ta main c'est toujours moi qui te suis
(Merci à Alen Monique pour cettes paroles)
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