Promesse à Enora Songtext
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Enora rappelle-toi, le temps n'efface que les détails
Tends le doigt vers le ciel tu pourras toucher les étoiles
Dis-toi seulement, Gwen est là dans nos mémoires
Déleste-toi un peu du poids du désespoir
Enora, dans tes yeux je l'ai vu briller
Un vingt-six février tout s'écroule autour de toi
On rebâtira demain dans le silence et le secret
Un grand frère c'est sacré entre l'absence et le regret
Ces mots du bout des lèvres lentement je les murmure
Tends le doigt vers le ciel tu pourras toucher les étoiles
Dis-toi seulement, Gwen est là dans nos mémoires
Déleste-toi un peu du poids du désespoir
Enora, dans tes yeux je l'ai vu briller
Un vingt-six février tout s'écroule autour de toi
On rebâtira demain dans le silence et le secret
Un grand frère c'est sacré entre l'absence et le regret
Ces mots du bout des lèvres lentement je les murmure
M'arme de vos blessures, un ange est tombé de là-haut
Je trébuche et me questionne, sur un spectre si pesant
Dans ce funérarium on était quasiment deux cents
Ce sentiment de vide, Gwenvaël avait 16 ans
Gamin difficile à cerner mais tellement intelligent
Un peu distant, il se foutait parfois de tout
Mais frissonnait en écoutant le chant des churs de l'armée rouge
Ne repars pas à zéro, on vit avec le manque
Un stylo et du piano sans que les souvenirs te hantent
Étrange, de ses deux mains la vie t'étrangle
De l'encre, pour se donner rendez-vous demain
Enora rappelle-toi, le temps n'efface que les détails
Tends le doigt vers le ciel tu pourras toucher les étoiles
Dis-toi seulement, Gwen est là dans nos mémoires
Déleste-toi un peu du poids du désespoir
Enora, dans tes yeux je l'ai vu briller
Un vingt-six février tout s'écroule autour de toi
On rebâtira demain dans le silence et le secret
Un frangin c'est sacré entre l'absence et le regret
L'oraison nous empoisonne, on attend la floraison
On murmure à l'au-delà les yeux perdus vers l'horizon
Mais avant le naufrage la vie n'était pas si moche
Voyager à travers les pages de Lovecraft ou Asimov
Écouter du Cannibal Corpse, brutal anthropophage
Pouvoir étudier le russe et déchiffrer mes tatouages
Inutile de vriller mais dur de rester positif
Attentif, c'était Gwen qui chantonnait Printemps tardif
Quand le soleil se couche notre peine est souveraine
Son pote c'était Pierre aussi loin que je m'en souvienne
Comme de la porcelaine, les sentiments se brisent
La mort te fait la bise sur la neuvième de Beethoven
Enora rappelle toi, le temps n'efface que les détails
Tends-le doigt vers le ciel tu pourras toucher les étoiles
Dis-toi seulement Gwen est là dans nos mémoires
Déleste-toi un peu du poids du désespoir
Enora, dans tes yeux je l'ai vu briller
Un vingt-six février tout s'écroule autour de toi
On rebâtira demain dans le silence et le secret
Un frère c'est sacré entre l'absence et le regret
Le regard dans le vague et le vague à l'âme en vogue
Les idées glauques nous encerclent comme une bague
Tout déborde à l'intérieur dans un tsunami de spleen
Je n'ai que de l'encre de Chine pour apaiser votre terreur
Cette ficelle et ce pont, ces liens qui se défont
Un enfant qu'on incinère c'est un monde qui s'effondre
Moi j'arrive à Paname pour un hommage à Clément
Enora se présente, m'expliquant simplement
Qu'elle a besoin d'un autographe à déposer sur le marbre
Je me souviens de Gwen en fond d'écran de son portable
Fidèle à ma parole, à ce serment solennel
Une promesse en poème à la mémoire de Gwenvaël
Je trébuche et me questionne, sur un spectre si pesant
Dans ce funérarium on était quasiment deux cents
Ce sentiment de vide, Gwenvaël avait 16 ans
Gamin difficile à cerner mais tellement intelligent
Un peu distant, il se foutait parfois de tout
Mais frissonnait en écoutant le chant des churs de l'armée rouge
Ne repars pas à zéro, on vit avec le manque
Un stylo et du piano sans que les souvenirs te hantent
Étrange, de ses deux mains la vie t'étrangle
De l'encre, pour se donner rendez-vous demain
Enora rappelle-toi, le temps n'efface que les détails
Tends le doigt vers le ciel tu pourras toucher les étoiles
Dis-toi seulement, Gwen est là dans nos mémoires
Déleste-toi un peu du poids du désespoir
Enora, dans tes yeux je l'ai vu briller
Un vingt-six février tout s'écroule autour de toi
On rebâtira demain dans le silence et le secret
Un frangin c'est sacré entre l'absence et le regret
L'oraison nous empoisonne, on attend la floraison
On murmure à l'au-delà les yeux perdus vers l'horizon
Mais avant le naufrage la vie n'était pas si moche
Voyager à travers les pages de Lovecraft ou Asimov
Écouter du Cannibal Corpse, brutal anthropophage
Pouvoir étudier le russe et déchiffrer mes tatouages
Inutile de vriller mais dur de rester positif
Attentif, c'était Gwen qui chantonnait Printemps tardif
Quand le soleil se couche notre peine est souveraine
Son pote c'était Pierre aussi loin que je m'en souvienne
Comme de la porcelaine, les sentiments se brisent
La mort te fait la bise sur la neuvième de Beethoven
Enora rappelle toi, le temps n'efface que les détails
Tends-le doigt vers le ciel tu pourras toucher les étoiles
Dis-toi seulement Gwen est là dans nos mémoires
Déleste-toi un peu du poids du désespoir
Enora, dans tes yeux je l'ai vu briller
Un vingt-six février tout s'écroule autour de toi
On rebâtira demain dans le silence et le secret
Un frère c'est sacré entre l'absence et le regret
Le regard dans le vague et le vague à l'âme en vogue
Les idées glauques nous encerclent comme une bague
Tout déborde à l'intérieur dans un tsunami de spleen
Je n'ai que de l'encre de Chine pour apaiser votre terreur
Cette ficelle et ce pont, ces liens qui se défont
Un enfant qu'on incinère c'est un monde qui s'effondre
Moi j'arrive à Paname pour un hommage à Clément
Enora se présente, m'expliquant simplement
Qu'elle a besoin d'un autographe à déposer sur le marbre
Je me souviens de Gwen en fond d'écran de son portable
Fidèle à ma parole, à ce serment solennel
Une promesse en poème à la mémoire de Gwenvaël
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