Rue Saint-Louis En L'Île Songtext
Une chanson qui sent bon le chagrin
Pour te dire combien je suis seul
Pour te dire combien je suis las
Un couplet aux airs de faux refrain
Pour dire combien la vie est laide
Oui combien elle est dégueulasse
Une chanson qui frise la complainte
Pour te dire que la pluie est triste
Pour te dire que la neige est crade
Pour te dire combien je suis seul
Pour te dire combien je suis las
Un couplet aux airs de faux refrain
Pour dire combien la vie est laide
Oui combien elle est dégueulasse
Une chanson qui frise la complainte
Pour te dire que la pluie est triste
Pour te dire que la neige est crade
Que la lumière n’est que de demi-teinte
Que j’ai l’air d’un équilibriste
Plus que la valeur de sabre
Je me souviens de ton doux, rue Saint-Louis en l’Île
Plus rien de rien, plus un mot, un battement de cil
Je me souviens, je me souviens
Une chanson qui sent bon le chagrin
Te dire que j’ai un chat persan
Qui se niche au fond de ma gorge
Un couplet aux airs de faux refrain
Qui sent ni la sueur ni le sang
Pareil au chant du rouge-gorge
Une chanson qui jouxte mes prières
Pour te dire combien je me sens vide
Pour te dire que je suis une épave
Et que je ne vois même plus la lumière
Ni dans le noir des pyramides Pardonnez-moi je sors du cadre
Je me souviens de ton doux, rue Saint-Louis en l’Île
Plus rien de rien, plus un mot, un battement de cil
Je me souviens, je me souviens
Je me souviens, je me souviens
Une chanson qui sent bien la rancœur
Pour te dire combien je suis las
Pour te dire combien je suis l’ombre
L’ombre de moi-même et puis encore
Ma peau est revêtue de glace
Et mes idées noires en surnombre
Un couplet en forme de douceur
Pour dire que je n’ai plus de place
Dans ton sillage et tes silences
Une chanson qui rêve de chaleur
À écouter si le temps passe
En ne laissant qu’un vide immense
Je me souviens de ton doux, rue Saint-Louis en l’Île
Plus rien de rien, plus un mot, un battement de cil
Je me souviens, je me souviens, rue Saint-Louis en l’Île
Je me souviens, je me souviens, de rien
Je me souviens, je me souviens, rue Saint-Louis en l’Île
Je me souviens, je me souviens, d’un battement de cil
Je me souviens, je me souviens, rue Saint-Louis en l’Île
Emporte-moi loin de ce monde
Je me souviens de ton doux, rue Saint-Louis en l’Île
Que j’ai l’air d’un équilibriste
Plus que la valeur de sabre
Je me souviens de ton doux, rue Saint-Louis en l’Île
Plus rien de rien, plus un mot, un battement de cil
Je me souviens, je me souviens
Une chanson qui sent bon le chagrin
Te dire que j’ai un chat persan
Qui se niche au fond de ma gorge
Un couplet aux airs de faux refrain
Qui sent ni la sueur ni le sang
Pareil au chant du rouge-gorge
Une chanson qui jouxte mes prières
Pour te dire combien je me sens vide
Pour te dire que je suis une épave
Et que je ne vois même plus la lumière
Ni dans le noir des pyramides Pardonnez-moi je sors du cadre
Je me souviens de ton doux, rue Saint-Louis en l’Île
Plus rien de rien, plus un mot, un battement de cil
Je me souviens, je me souviens
Je me souviens, je me souviens
Une chanson qui sent bien la rancœur
Pour te dire combien je suis las
Pour te dire combien je suis l’ombre
L’ombre de moi-même et puis encore
Ma peau est revêtue de glace
Et mes idées noires en surnombre
Un couplet en forme de douceur
Pour dire que je n’ai plus de place
Dans ton sillage et tes silences
Une chanson qui rêve de chaleur
À écouter si le temps passe
En ne laissant qu’un vide immense
Je me souviens de ton doux, rue Saint-Louis en l’Île
Plus rien de rien, plus un mot, un battement de cil
Je me souviens, je me souviens, rue Saint-Louis en l’Île
Je me souviens, je me souviens, de rien
Je me souviens, je me souviens, rue Saint-Louis en l’Île
Je me souviens, je me souviens, d’un battement de cil
Je me souviens, je me souviens, rue Saint-Louis en l’Île
Emporte-moi loin de ce monde
Je me souviens de ton doux, rue Saint-Louis en l’Île