
Soledad Songtext
On rêvait pas de SMIC mais de millis comme Weezy
Mais nos pensées négatives sont nuisibles
Le doute de soi donne des paralysies
Pose des barrières invisibles
Et en restant serviles, nos ex-modèles perdent en prestige
J'parle de stress donnant de grands vertiges
De fils d'immigrés voulant mettre leurs peines en exil
De gars qu'ont dealé sans jamais s'en vanter
J'ai des questions à trancher comme des gorges
Me libérer des idées qui blessent et laissent des plaies à panser
Mais nos pensées négatives sont nuisibles
Le doute de soi donne des paralysies
Pose des barrières invisibles
Et en restant serviles, nos ex-modèles perdent en prestige
J'parle de stress donnant de grands vertiges
De fils d'immigrés voulant mettre leurs peines en exil
De gars qu'ont dealé sans jamais s'en vanter
J'ai des questions à trancher comme des gorges
Me libérer des idées qui blessent et laissent des plaies à panser
Retranché dans c'décor sombre
Chacun y déplore son cas, s'morfond dans la soif et le feu qui l'attise
Paris, la grise, parée à l'explosion
Se représentant la crise comme une énorme bombe
La mort approche vite
Tu peux passer toute une vie les poches vides
J'parle de ce que mes proches vivent
La rue est devenue pour certains une mère adoptive
J'parle de douleur affective que rien n'soulage, pas même la morphine
J'ai bien connu les relations toxiques
J'en ai encore du mal à dormir
On t'remplace après t'avoir mis dans le rétroviseur
Les tricheurs paraissent adroits
J'm'adresse à toi, mon semblable hypocrite auditeur
C'est la même, le destin, l'hasard
La haine part en croisade
Que des enfants en bas âge soient tués dans des chambres à gaz
Ou dans leur chambre à Gaza, mon gars, ça donne la rage Jugé en prenant des raccourcis, au style, à l'épiderme
Ça délibère vite, la foudre dissimulée dans les viscères
Comme la jalousie, le venin pour ces vipères vides d'amour
Un climat électrique de révolte
Où les rêves volent en éclats Ils ont volé les clés et le sérum
Insolent et calme, non-violent, mais belek si l'volcan éclate
La mort approche vite
Tu peux passer toute une vie les poches vides
J'parle de ce que mes proches vivent
La rue est devenue pour certains une mère adoptive
J'parle de douleur affective que rien n'soulage, pas même la morphine
J'ai bien connu les relations toxiques
J'en ai encore du mal à dormir
Chacun y déplore son cas, s'morfond dans la soif et le feu qui l'attise
Paris, la grise, parée à l'explosion
Se représentant la crise comme une énorme bombe
La mort approche vite
Tu peux passer toute une vie les poches vides
J'parle de ce que mes proches vivent
La rue est devenue pour certains une mère adoptive
J'parle de douleur affective que rien n'soulage, pas même la morphine
J'ai bien connu les relations toxiques
J'en ai encore du mal à dormir
On t'remplace après t'avoir mis dans le rétroviseur
Les tricheurs paraissent adroits
J'm'adresse à toi, mon semblable hypocrite auditeur
C'est la même, le destin, l'hasard
La haine part en croisade
Que des enfants en bas âge soient tués dans des chambres à gaz
Ou dans leur chambre à Gaza, mon gars, ça donne la rage Jugé en prenant des raccourcis, au style, à l'épiderme
Ça délibère vite, la foudre dissimulée dans les viscères
Comme la jalousie, le venin pour ces vipères vides d'amour
Un climat électrique de révolte
Où les rêves volent en éclats Ils ont volé les clés et le sérum
Insolent et calme, non-violent, mais belek si l'volcan éclate
La mort approche vite
Tu peux passer toute une vie les poches vides
J'parle de ce que mes proches vivent
La rue est devenue pour certains une mère adoptive
J'parle de douleur affective que rien n'soulage, pas même la morphine
J'ai bien connu les relations toxiques
J'en ai encore du mal à dormir