Ecchymose Songtext
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Parce que je t'ai frappée, je n'avais pas de roses
Mais trop d'épines, douleur atroce sans ecchymose
De travers, j'ai grandi comme cette plante qui a poussé
Cabossé telle une caisse qui loupe son virage, j'ai le c?ur
Eclaboussé par tes larmes qui gisent au sol
Tu vois, on est deux, dans ma folie je suis seul
Assieds-toi, il faut que je t'explique, je crois que je suis malade
Les requiems sonnent dans ma tête comme des ballades
J'oublie comment je m'appelle quand c'est tes bleus qui portent mon nom
Sur les ailes d'un ange, j'écrirai ton prénom
Mais trop d'épines, douleur atroce sans ecchymose
De travers, j'ai grandi comme cette plante qui a poussé
Cabossé telle une caisse qui loupe son virage, j'ai le c?ur
Eclaboussé par tes larmes qui gisent au sol
Tu vois, on est deux, dans ma folie je suis seul
Assieds-toi, il faut que je t'explique, je crois que je suis malade
Les requiems sonnent dans ma tête comme des ballades
J'oublie comment je m'appelle quand c'est tes bleus qui portent mon nom
Sur les ailes d'un ange, j'écrirai ton prénom
J'en ai rien à foutre de Roméo et Shakespeare, la nuit, je rêve que je meure et chaque matin, je respire
Je déraille comme le Trans à Vladivostok, j'ai les pieds dans l'eau, le coeur qui rouille sur la grande époque
J'ai bien compris les leçons des ténèbres, mes sentiments, un bouquet de fleur dans un arbre, une insulte sur mes lèvres
Et je flirte entre la tendresse et le fait divers, je plane au-dessus des montagnes et en moi, c'est la guerre
Les seules fleurs que je t'offre sont celles du mal, j'ai fait l'amour buissonnière près de l'arsenal
Mes insultes donnent racine à tes pleurs, mais pour l'instant, c'est des orties qui entourent mon c?ur
Les déserts de l'amour sont de couleur cendre
21 grammes, j'ai vu ton âme se fendre
J'ai vu la plus belle planète partir
A l'heure où les oiseaux se cachent pour crever
C'est encore l'hiver et je voulais te dire
Que c'est le noir comme Louis Braille qui m'a caressé
Tandis que ma folie épouvantable me broie
J'ai gagné en trichant, j'ai mis de la peine dans ma joie
J'ai menti jusqu'à étrangler ma parole
Rien à foutre des femmes, soit des putes, soit des folles
Tu sais, j'habite sur une étoile filante
Je suis le seul gardien de cette nature mourante
Je t'aurais donné mon souffle s'il valait quelque chose
Je t'offre un bouquet d'épines toi la plus belle des roses
Moi sur mon destin, je suis qu'on profane
Ta peau exaltait aujourd'hui est diaphane
Je donnerai mes yeux pour remonter le temps en courant
Mais les morsures que je t'ai laissées m'ont blessé en s'épanouissant
J'irai planter une croix là où nos rêves se couchent
Plus jamais je mange, je veux garder le goût de ta bouche
J'avais la plus belle beauté sur mes genoux
J'ai tué la douceur tous ces rendez-vous
Je me sens plus bas que le niveau de la mer
Une gifle une caresse à la seule femme qui pouvait me rendre père
Je pleure des larmes de sans mais le mal est fait
Comme un cadavre sur l'asphalte, j'écris l'histoire d'une fée*
* première version :
Comme une cadavre sur l'asphalte, je viens de tabasser une fée
(Merci à William pour cettes paroles)
Je déraille comme le Trans à Vladivostok, j'ai les pieds dans l'eau, le coeur qui rouille sur la grande époque
J'ai bien compris les leçons des ténèbres, mes sentiments, un bouquet de fleur dans un arbre, une insulte sur mes lèvres
Et je flirte entre la tendresse et le fait divers, je plane au-dessus des montagnes et en moi, c'est la guerre
Les seules fleurs que je t'offre sont celles du mal, j'ai fait l'amour buissonnière près de l'arsenal
Mes insultes donnent racine à tes pleurs, mais pour l'instant, c'est des orties qui entourent mon c?ur
Les déserts de l'amour sont de couleur cendre
21 grammes, j'ai vu ton âme se fendre
J'ai vu la plus belle planète partir
A l'heure où les oiseaux se cachent pour crever
C'est encore l'hiver et je voulais te dire
Que c'est le noir comme Louis Braille qui m'a caressé
Tandis que ma folie épouvantable me broie
J'ai gagné en trichant, j'ai mis de la peine dans ma joie
J'ai menti jusqu'à étrangler ma parole
Rien à foutre des femmes, soit des putes, soit des folles
Tu sais, j'habite sur une étoile filante
Je suis le seul gardien de cette nature mourante
Je t'aurais donné mon souffle s'il valait quelque chose
Je t'offre un bouquet d'épines toi la plus belle des roses
Moi sur mon destin, je suis qu'on profane
Ta peau exaltait aujourd'hui est diaphane
Je donnerai mes yeux pour remonter le temps en courant
Mais les morsures que je t'ai laissées m'ont blessé en s'épanouissant
J'irai planter une croix là où nos rêves se couchent
Plus jamais je mange, je veux garder le goût de ta bouche
J'avais la plus belle beauté sur mes genoux
J'ai tué la douceur tous ces rendez-vous
Je me sens plus bas que le niveau de la mer
Une gifle une caresse à la seule femme qui pouvait me rendre père
Je pleure des larmes de sans mais le mal est fait
Comme un cadavre sur l'asphalte, j'écris l'histoire d'une fée*
* première version :
Comme une cadavre sur l'asphalte, je viens de tabasser une fée
(Merci à William pour cettes paroles)
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